Lyon-Turin, Rhône-Alpes inquiète du financement

Bernard Soulage, vice-Président de la région délégué à l'Europe estime qu'il n'y a pas encore de garanties suffisantes, coté Français pour le financement de la LGV.

En déplacement, ce vendredi à Turin, Jean-Jack Queyranne et une délégation de la région Rhône-Alpes rencontrent leurs homologues de la région italienne du Piémont.

Les questions sur la prochaine tranche de financements de la future ligne LGV Lyon-Turin ont ouvert les discussions. La région Rhône-Alpes fait part de son inquiétude sur l'attitude du gouvernement français. « Il n'y a aucune garantie que la France signe [...] C'est un moment de vérité », explique Bernard Soulage, Vice-Président délégué à l'Europe et aux relations internationales.

La France a jusqu'au mois de février 2015 pour répondre à l'appel d'offre européen en présentant un engagement chiffré à la Commission, dans un contexte où François Hollande a de nouveaux demandé à Bruxelles un report de la réduction des déficits.

Les ministres des Transports européens se retrouveront la semaine prochaine en Italie, où la question sera évoquée.

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Commentaire 1
à écrit le 12/09/2014 à 22:24
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Vous êtes toujours aussi surprenant : La LGV Lyon-Turin n'existe plus depuis que l’État n'a pas renouvelé son arrêté de qualification de Projet d'Intérêt Général (PIG) de la ligne à grande vitesse LYON – Sillon alpin le 19 juillet 2013. C'est c...

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