
A l'instar du GIMAP, émanation de l'Université stéphanoise Jean Monnet, de nombreux laboratoires universitaires de la région Auvergne-Rhône-Alpes se sont logiquement lancés dans la course aux progrès médicaux (vaccins/traitements) pour participer au combat mondial contre la pandémie actuelle. Plus étonnant, la quasi-totalité des autres disciplines universitaires se sont également engagées dans de nombreux projets de recherche en lien avec le Covid-19 : les Sciences Humaines et Sociales de façon générale, l'histoire, la géographie, les sciences politiques, les sciences du sport, les sciences économiques, la psychologie etc.
"Cette situation inédite bouleverse complètement notre monde. Le choc est un moteur de créativité", explique Hervé Courtois, vice-président recherche de l'Université Grenoble Alpes.
Même analyse de Stéphane Riou, son homologue à l'Université Jean Monnet.
"Cette pandémie est un choc social, sociétal et économique. Elle éveille forcément l'intérêt des chercheurs. De plus, du point de vue de la méthode scientifique, l'instantanéité de ce choc leur permet d'observer rapidement les changements induits. C'est assez surprenant et inédit que les sciences sociales se mobilisent aussi vite, nous assistons à un...
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