Jean-Marie Pelt : "J'aime la grandeur du mot espérance"

Jean-Marie Pelt, botaniste et écologiste, est mort ce mercredi 23 décembre. En janvier dernier, il nous avait écrit un court texte dans lequel il évoquait son rêve pour la ville de demain. Le voici.

L'évolution galopante des nouvelles technologies questionne le rôle de l'Homme dans notre société. Cette frénésie à l'ultra-connectivité plonge l'humanisme en péril.

La communication finit dès lors par tuer la communion, les amis deviennent virtuels et non plus réels, et les robots remplacent les humains. Néanmoins, tout n'est pas perdu.

Je crois au bon usage du progrès. En la nature de l'Homme, à son corps et à son âme, à pouvoir y faire face.

Profondément chrétien, j'aime de ce fait la grandeur du mot espérance.

Dans une ville rêvée où le sens doit être retrouvé, l'Homme devra ainsi savoir grandir au milieu d'un patrimoine culturel et naturel consubstantiel, dont il sera fier. Fier de ses racines et de ce qui l'entoure afin de porter les valeurs morales et éthiques.

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